Chemin de vie
« Connais toi, toi-même.» « Gnothi seauton »
L’enjeu est de s’explorer comme une terra incognita.
Six siècles avant notre ère, des personnalités originaires de diverses régions grecques, baptisés les 7 sages, font inscrire sur le fronton du temple d’apollon de Delphes cet impératif de l’existence humaine.
Se connaître soi-même signifie donc, loin de l’exploration complaisante ou narcissique de son intériorité, la conscience de nos limites.
Qui suis-je ?
Nous voyons seulement ce que nous voulons voir ou bien entendre et c’est cette volonté de contrôler nos sens qui nous empêche de nous connaître nous-même puisque nos sens flattent nos désirs et nous empêchent donc de voir la vérité, le monde tel qu’il est, même avec ses points négatifs. Ainsi, les sens constituent des obstacles à la connaissance de soi.
« L’homme est à la fois le plus proche et le plus éloigné de lui-même. », disait Saint-Augustin.
La Numérologie est une science ésotérique des nombres. Il y a 11 000 ans les Chaldéens ont étudié la numérologie, tout comme par la suite les Égyptiens, les Phéniciens, les Chinois, les Tibétains, les Arabes et les Hongrois.
Pythagore est connu pour être le père de la numérologie. Pythagore estimait que les secrets de l’univers étaient cachés dans la science des nombres. Grace aux nombres il pouvait voir le début de l’univers et sa forme finale. Les éléments des nombres sont les éléments de tout ce qui existe. Les chiffres avaient pour lui des propriétés comme les humains : maternelle et paternelle, active et passive, générale et spécifique. Ce sont les éléments de la nature et un outil divin pour déchiffrer leur vie.
Il existe plusieurs façons de calculer son chemin de vie.
Le système Pythagoricien, qui utilise les chiffres de 1 à 9 et qui attribue chaque chiffre à chaque lettre de l’alphabet est le plus connu.
Le système de la kabbale, sur le même principe mais qui utilise un tableau de 22 chiffres ; Puis le système tibétain que j’utilise notamment.
Nos grands maîtres tibétains considèrent que tout est Vibration et que, lorsque nous venons sur terre, nous possédons une sorte de carte vibratoire qui contient l’essence même de notre existence. Croyant à la réincarnation, ils nous expliquent que, lorsque nous naissons, nous portons des « bagages » ou karmas révélateurs de Qui nous étions dans nos vies précédentes. Le but de notre destinée est, selon eux, de régler nos karmas dans cette vie-ci pour évoluer vers un niveau de conscience supérieur et vers un éveil spirituel toujours plus grand.
Au siècle dernier, Gustav Jung au cours de ses recherches a mis en évidence la puissance des arcanes du Tarot en tant qu’allégories des archétypes qui composent notre Psyché. Les archétypes sont des énergies qui possèdent une vie propre et qui accompagnent et conditionnent l’évolution de notre conscience.
Il existe aussi un procédé qui permet de connaitre le chemin de vie grâce aux lames du tarot.
Ce procédé permet de :
Mettre en lumière les archétypes qui nous animent
Recevoir des conseils pour agir en harmonie avec d’une part votre réalité intérieure, d’autre part les circonstances extérieures
Vous apporter une ouverture sur l’avenir en indiquant quelle sera votre orientation future
Découvrir ce que la situation vous enseigne et le rôle que jouent dans votre évolution les évènements que vous vivez.
Une meilleure connaissance de son Chemin de vie permet de comprendre les épreuves que l’on rencontre…
« Il n’y a pas d’échec, il n’y a que des leçons.» est la phrase que j’ai tatoué dans le dos …. Aller vers le lâcher prise et accompagner la vie est donc notre but ultime !